Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie du premier numéro du journal étudiant l’Octopus. Il sera disponible dès le 27 novembre sur le campus Rive Gauche de l’Université Paris Diderot.
L’histoire de l’Octopus a commencé avec celle de la promotion 2017-2019 du Master Journalisme, Communication et Culture Scientifiques de l’Université Paris Diderot. Nous venions tous d’horizons différents, avec nos envies, nos parcours, nos rêves, nos appréhensions, nos projets… Nos pas nous ont guidés vers cette formation, à la croisée de tous les chemins que peuvent prendre la connaissance, celle qui fédère l’amour des sciences et le partage. L’Octopus est né d’une envie, celle de s’exprimer et de raconter. Raconter la science, l’expliquer, la transmettre ; autant de choses que ce qu’elle représente dans notre société actuelle.
Il existe aussi car nous souhaitions trouver un endroit à nous et, peut être, amener nos lecteurs à élargir leurs champs de vision.
Chaque mois, nous choisissons un thème et nous le déclinons sous toutes les nuances qui composent notre équipe de rédacteurs. D’ailleurs, les rédacteurs, qui sont-ils ? Ce sont des physiciens, des biologistes, des géologues, des géographes et également, qui veut. Il est ouvert à la participation de tout étudiant de l’Université Paris Diderot qui souhaiterait, à son tour, partager ses passions et ses intérêts.
Pour notre premier numéro, nous avons choisi de vous parler du café. Nous vous invitons à voyager des plantations brésiliennes jusqu’à nos tasses en faisant un détour par l’ISS, à découvrir les effets du café sur notre organisme, sa place dans le monde, ses curiosités…
Une version numérique du journal est mise en ligne sur le site de l’association Boîte à Médias (https://boiteamedias.wordpress.com).
Enfin, cette histoire n’aurait pas pu être racontée s’il n’y avait pas eu l’association Boîte à Médias, le soutien financier du Fond de Solidarité et de Développement des Initiatives Étudiantes, l’imprimerie de l’Université Paris Diderot, nos professeurs et surtout vous qui lisez ces lignes.
L’histoire de l’Octopus est encore à écrire et l’aventure, aussi belle et téméraire soit-elle, est à tenter.